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 Cher ou chère Inconnu(e)

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4 participants
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hwa soon
Maîtresse sado
hwa soon


Féminin
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est : gentille... mais sadique!
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MessageSujet: Cher ou chère Inconnu(e)   Cher ou chère Inconnu(e) EmptyDim 18 Juin - 15:09

Voilà, une courte nouvelle très pourrie et très déprimante mais bon, on se refait pas... Smile

Cher ou chère Inconnu(e),

Je m’appelle Dominique, Dominique Martin. Je suis métisse, avec les yeux bleus et les cheveux noirs. Je vous écrit pour vous parler. Avoir quelqu’un à qui parler est rassurant. J’aime l’odeur du pain, la couleur du sang. J’aime jouer au foot et rester des heures au téléphones. J’ai de très bonnes notes en maths, de très moyennes en français, de très basses en histoire. J’ai autant de copains que de copines. Peut-être plus, peut-être moins, je n’ai jamais fait le compte, à vrai dire. J’ai un père qui travaille au FBI : il me l’a dit après que j’ai vu les installations d’espionnage dans sa cambre. Ma mère est infirmière. Elle ne croise que rarement papa et ne sais rien de son métier. Je n’ai ni sœur, ni frère. Mes passions sont le bowling et les aides humanitaires. Une fois, je me souviens avoir acheté une boule bleue, aux reflets verts, et j’avais fait le serment de ne m’en séparer jamais. Aussi, j’irais avec elle, même dans la mort. Et si jamais on me la retirait, je me réveillerai alors d’entre les morts pour la reprendre et la garder avec moi. Mais, laissons les choses macabres. Je profite un peu de ce moment de tranquillité. Et il n’est pas question que je parle de mort dans cette lettre. Ainsi, je ne suis qu’un poids en plus sur le dos de la société, une tâche que tout le monde voudrait enlever, effacer et dont chacun espère une libération de fonctions. Je suis vraiment à charge, en effet. Et aujourd’hui je me cherche, je questionne, mais aucune réponse ne parvient de mon entourage et me laisse au désespoir. Aujourd’hui je sais que rien ne sera désormais comme avant. Tout va changer et ce sera moi la cause de ce changement véridique. Voilà, je me demande ce que je suis, qui je suis, où je suis, ce que je fais, où je vais, pourquoi et comment.

Ainsi, j’ai décidé de partir très loin. Mais avant cela, je tiens à me replonger une dernière fois dans mes terribles souvenirs. Ce n’est point celui où on me mena en pension, ni celui où je vis la feuille sur laquelle je devais écrire le nom d’un parent, ni celui où je vis ma vie s’écrouler. Non c’est un souvenir qui a marqué ma lamentable existence plus que tout, sans que je ne m’en rende compte au début et qui a pourtant averti que rien ne serait désormais plus comme avant. C’est le jour où mes parents se disputèrent pour la dernière fois devant moi. Mais pour cela, il faut que je remonte quelques jours avant…


C’était le dix juin. Vingt heures trente et une. C’était le soir. Mon père ouvrit la fenêtre. Le vent caressa mes joues enflammées, balaya mes cheveux. Je ruminais un chewing-gum à la chlorophylle de chez Liddl. J’écoutais de la musique, du rap : Beyoncé se déchaînait dans « Crazy in love ». Et mes parents s’engueulaient, encore ! D’ailleurs, j’imaginais mal qu’ils pussent vieillir ensemble. Je regardais défiler les maisons, calme. Je n’entendais pas mes parents, j’avais mon baladeur sur les oreilles. Une fois que Beyoncé, la voix cassée, se tut, un éclat de rire me fit lever les yeux : c’était papa : ça le faisait rire les carrefours ronds…. ou plutôt, ce qu’il y avait dessus.
Une vieille grange. Des champs de blé. Un tracteur au loin… C’était l’été bientôt, et avec lui le rhume des foins, cette saloperie qui me faisait tousser, brûlait les yeux, bouchait le nez. Mon père s’était arrêté : un feu rouge. On redémarra. Une bouteille d’eau gelée tomba sur mes pieds. Ça me fit du bien, puisque le thermomètre donnait une chaleur accablante : trente-cinq degrés et il était près de vingt heures moins le quart. On était vendredi. Encore un village, mort, sinistre, ce qui n’était pas étonnant : c’était l’heure de la soupe. Les jets d’eau électriques arrosaient les champs, ça allait être la canicule, comme l’été dernier. On en avait parlé, avec mes parents : ils voulaient m’enlever ma fête d’anniversaire. Dommage. Tout ça parce que je n’avais pas eu vingt à une interrogation orale en conjugaison française. C’était stupide, je déteste le français, et j’avais fait exprès d’avoir moins de dix pour entrer au clan des Sympas, les personnes les plus branchées du bahut… j’aurais pu y penser plutôt, mais… tant pis ! Mes lunettes glissaient sur mon nez. Bleues, elles étaient bleues, j’aimais cette couleur. Normalement, je devrais être à mes cours de sport. Et dans deux semaines, c’était l’épreuve annuelle. Atchoum ! Stupide rhume des foins ! J’avais pas révisé ; et je m’en foutais. De toutes façons, je l’avais déjà, à ce qu’y paraissait. J’avais vu la psychologue, ce midi. Elle m’avait demandé si je pensais quelques fois à me suicider. N’importe quoi ! La bouteille d’eau roula sur ma sandale. Ça me fit mal. On alla prendre de l’essence et je détachai ma ceinture : ça tombait bien, j’avais envie de pisser. J’avais faim. Plus tard, j’avais décidé que je travaillerais dans une voie scientifique. Dans trois ans, je ferais une grande école à New York. Je prendrais un appartement. Après ma majorité, je me ferais une liposuccion ; je me dis souvent que j’ai trop de ventre, pas assez de cerveau. J’aimais la chanson de Sean Paul « Breathe ».
« Tu me fais chier ! » Ca y est, mes parents se disputèrent de nouveau. Elle voulait manger dans un petit village, il voulait dîner chez son frère. On retourna dans ce petit village, on chercha un restau, enfin, un qui fut ouvert ! Y avait rien. C’était vide, mort. Ils étaient déjà chez eux, en train de roupiller. « File moi le paquet de biscuits, merde ! » Ma mère lui balança le paquet. « Bouffe-le, ton paquet » Mon père soupira alors qu’au même instant, Sean Paul terminait sa chanson sur une note enjouée. D’un coup, l’atmosphère tendue fut presque palpable. Je regardai les champs défilés. Des maisons, on arrivait dans un autre village. Mon père téléphona à sa belle-sœur. Il savait pas où ils habitaient. On descendit de voiture, mon oncle et ma tante vinrent nous accueillir. Le moteur de la voiture fumait, s’arrêta lentement, j’allais enfin pouvoir manger !
Le lendemain était le douze juin. J’aimais pas mal de choses, beaucoup même. J’en détestais autant, par la même occasion. Peut-être plus. Et ce matin, je détestais être ici. Ok, je loupe les cours, mais pour vivre ça ! Les gens semblaient être exténués d’avoir fait les bornes pour venir. Ils sont même obligés de me saluer. Quelle corvée ! J’étais en pantalon violet. Pour faire ressortir ma silhouette de monstre. Je portais une chemise violette aussi, ringarde. J’avais les cheveux qui se soulevaient au vent. Le soleil tapait, ça me faisait chaud. J’avais mis mes lentilles. J’avais dû me bagarrer avec elles, ah ça oui ! pauvres cloches ! Une abeille s’était posée sur ma pochette. Je la regardai : elle était belle, je la vis s’envoler. Les oiseaux chantaient : l’amour, le printemps, le bonheur. J’étais bien, loin de tous, de ma tante. Pardon mes tantes. Des amis. De mes oncles. Oui, j’étais calme. Je regardai mes mains. Ce n’étaient pas celles d’un artiste potier, d’un peintre, d’un créateur. Non, rien. C’était juste mes mains, celles de quelqu’un de pacotille. La vue était splendide, tout demeurait vert. Ils prirent le champagne : c’était l’anniversaire de ma tante. Je voulais rester ici, sur ce banc, toute la journée. Oui, ne penser à rien. Sauf à mon roman… En effet, j’écris, mais j’ai envie d’en écrire un autre. Ça s’appellerait… « Ancêtres » ou non, je ne savais pas. On me cherchait. En fait, c’était l’histoire d’une fille qui se rendait compte que ses origines étaient là. Enfin, ses très, très lointaines origines. Oui, c’était assurément le fruit d’une imagination recherchée. L’histoire était banale, je sais. On me cherchait. On a trouvé où j’étais.
Le surlendemain fut le treize juin. On rentra, c’était fini. J’écoutais cette idiote de nouvelle sex-symbol, je pensais, et surtout je lisais « Les fantômes de Winnie » de Grégory Maguire. Winnie était écrivain. J’aurais aimé être célèbre. Juste pour voir ce que cela aurait fait. Pour voir. Pour rire. Les gens te rencontreraient, te parleraient et ils repartiraient chez eux, se gonflant d’orgueil au cours des réunions familiales en disant « Moi, j’ai vu Dominique Martin ! Je lui ai parlé et on est des amis proches maintenant. » Oui, et Winnie aime son cousin. Moi c’est Camille. Je l’aime. Je n’étais pas « en amour » comme on dit en anglais, mais j’y tenais beaucoup, c’était tout. Pas comme une porcelaine, datant de la période Ming du cinquième siècle provenant de Chine, hein ! L’envie d’écrire bouillonna en moi comme le feu brûle sous la cendre. J’avais envie de trouver suffisamment de papier, d’encre, avec le peu de temps qui me reste, pour imaginer, créer, aimer, trouver ! Mon roman, « Ancêtres », (sacré roman !) mêlerait humour, tristesse, féerie et serait parfait si je l’écrivais un jour. Je suis mégalo, je sais. L’héroïne s’appellerait Lisette. Bizarre pour une américaine, car elle est du pays des « gens beaux », comme disent les chinois. Surtout pour le XXe siècle. Le moyen âge me passionnait, j’emploie l’imparfait parce que maintenant… quelles choses me passionnent maintenant ? J’aurais pas assez de temps pour l’écrire. Les vacances sont pour dans trois semaines et j’aurais eu le temps alors si les choses ne s’étaient pas modifiées. L’épreuve annuelle était dans deux semaines. J’avais un autre projet de nouvelle. Il y aurait eu deux personnages : Roman à l’eau de rose, Lucille, fille de treize ans et prostituée rencontrant François, garçon de quinze ans. Deux amis depuis dix ans. Amitié sincère, qui, par un brusque accident deviendrait fragile, fragile…

Voilà, mon souvenir s’arrête là. Après, ils se sont séparés et je suis depuis deux ans en pension dans une école, avec visite une fois par semaine à ma mère et deux fois par mois à mon père. Encore un exemple de mon incroyable poisse… Je me rappelle aussi qu’une de mes copine a voulu se suicider. Je l’ai arrêtée à temps. après, elle a voulu être ma meilleure amie. J’ai dû arrêter notre relation, car cette fille était trop superficielle à mon goût. Elle a retenté le suicide. Ça la conduit à l’hôpital psychiatrique de la ville. Faut pas s’étonner : vouloir en finir en mangeant de l’écorce de bouleau pour se causer une indigestion ! Autre exemple : un ami très proche était déprimé. Je l’estimai beaucoup et j’ai essayé de lui changer les idées : je l’ai emmené aux bars, au cinéma, à la piscine… ça l’a conduit au cimetière : il a commencé à se piquer et a attrapé le virus du sida.

Ainsi, camarade, c’est ici que je te quitte, avec le souvenir de Dominique Martin, qui te remercie d’avoir consacré quelque temps à lire cette lettre. Tu ne pourras plus me lire désormais, car je souhaite ne plus écrire. Veille toujours à écouter les autres, qui ont besoin de toi dans les moments les plus horribles de leur vie. Adieu,

Quelqu’un ayant eu un jour le nom de Dominique Martin


Je n’ai pas ma place sur terre. J’attire les malheurs. J’ai quelques réponses aux questions du début de cette lettre : j’habite aux Etats-Unis et je suis en équilibre sur le Golden Gate, je suis comme dans un rêve. Je passe la barrière, me retiens par les bras, avance mon pied droit dans le vide, comme Rose dans Titanic. J’ai apporté ma boule de bowling, bleue, si jolie. Elle me tient les flancs. Mes cheveux fouettent mon visage déterminé, froid. Un dernier regard vers le ciel. La lune est visible d’un quart. C’est le dernier croissant, la lune va mourir demain, elle me sourit : demain elle portera un deuil durant quatre jours. Mes yeux brillent, une larme vient caresser ma joue. Je voudrais faire et dire comme l’héroïne dans Le palanquin des larmes : « je ne pleure plus, je n’ai plus de larmes. » mais c’est plus fort que moi et je pleure sur mon triste sort, mon inutilité sur cette terre, ou plutôt sur le chagrin de mes parents : me vient à l’esprit une dernière prière : « Maman, papa, je ne vous demanderai jamais assez pardon. J’ai essayé d’être quelqu’un de bien… Puissiez vous trouver dans votre boîte aux lettres mon enveloppe de profond pardon. » Je flotte, verticalement, ma boule contre moi. Durant les cinq secondes qui précédèrent cette douce tiédeur qui engloutit doucement mon âme, je ne pensais à rien. En paix avec moi-même.
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MessageSujet: Re: Cher ou chère Inconnu(e)   Cher ou chère Inconnu(e) EmptyDim 18 Juin - 16:17

-_-

Bon
Point de vue contenu, sans commentaire.
Point de vue style, rien à redire.
Deux trois petites choses quand même :
- un emploi trop fréquent du mot "Ainsi"
- une narration qui fait un peu "fouillis" : tu passes du coq à l'ane, one ne sait plus où est ton héroïne (le coup de la voiture, ça m'a pris longtemps ^^'), on ne voit pas le lien avec les choses... C'était peut-être volontaire?
-une fin trop rapide, et pas forcément logique.

Enfin bon, vouala c'est cool... Tu m'étonnes après ça que tu sois fan de Yoshiki -_-

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MessageSujet: Re: Cher ou chère Inconnu(e)   Cher ou chère Inconnu(e) EmptyDim 18 Juin - 16:27

Ouais, alors pour la fin et les coupures c'est tout fait exprès, c'est le personnage (d'ailleurs, je sais toujours pas si c'est une fille ou garcon) qui revoie sa vie avant de mourir alors c'est haché, normal!

Et voilà, maintenant tu comprends ma passion grandissime pour mon chouchou... ^^
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MessageSujet: Re: Cher ou chère Inconnu(e)   Cher ou chère Inconnu(e) EmptyDim 18 Juin - 16:46

T'as pas honte?

...Heath au moins ne parle pas de suicide dans toutes ses chansons.
(Remarque en même temps, je ne sais pas de quoi il parle, je comprends que le dixième de ce qu'il dit XD La seule dont j'aie les paroles c'est "Meikyuu no Lovers"' et c'est... franchement plutot pas mal. moins pire que Yoshiki en tout cas)

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MessageSujet: Re: Cher ou chère Inconnu(e)   Cher ou chère Inconnu(e) EmptyMer 1 Nov - 22:48

bon déja, j'ai bien aimé le "un chewing-gum à la chlorophylle de chez Liddl" Laughing mais ça fait zarb face au reste, l'imprécision des lieux, des jours... maintenant que tu le dis, (enfin en fait, ça fait un baille que tu l'as dit amis moi je viens juste de le lire --'), c'est vrai que tu ne précise pas si c'est une fille ou un garçon...perso l'image d'une fille s'est imposée toute seule..
sinon, c'est sûr que le récit est assez décousu..et pareil, j'ai dû m'arrêter et réfléchir pour comprendre le truc de la voiture --'. autrement, en fait, c'est con à dire....mais j'ai pas trouvé ça assez déprimant. --' elle/il a juste l'air de s'en fouttre royalement de ce qui se passe, enfin d'un côté quand on déprime c'est ça...mais je trouve que tu le mets pas assez en valeur... et puis pourquoi il devait être du FBI sont père??? le détail dont on se fout en fait mais bon --'

et puis pour être optimiste Lia, faut bien déprimer un bon coup de temps en temps Wink. et puis j'aime bien les paroles de Yoshiki...comme j'aime celles d'Evanescence d'ailleurs. pas grands rapport entre les 2 mais bon pas grave :p
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MessageSujet: Re: Cher ou chère Inconnu(e)   Cher ou chère Inconnu(e) EmptyJeu 15 Fév - 15:09

En parlant de suicide cela me rappelle que celui ci est l'une des façons de fuir c'est souci d'y échaper de manière assez lache, il résou le problème de celui qui passe a l'acte mais en créé pour ceux qui reste. Je sais par expérience personnel que le suicide peu éffleuré chacun d'entre nous voir d'avantage mais plus on le touche de près et plus on voir clair dans sa vie je finirais par une petite citation : "Il y a une chose de sur dans la vie s'est qu'on la perd."
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MessageSujet: Re: Cher ou chère Inconnu(e)   Cher ou chère Inconnu(e) EmptyJeu 15 Fév - 15:34

Y aurait tout un débat à faire sur le suicide, mais je préfère me taire là dessus, car le simple fait d'en parler pourrait me rendre violente...
Je nourris un profond mépris pour toute personne ayant recours au suicide.

Je ne m'étends pas.
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